Expertise 360° !

Noémie, faire de la com dans un organisme de formation ça sert à quoi ?

Bonjour qui es tu ?

Hello, je suis Noémie Escoffier, et je suis responsable communication et marketing depuis maintenant un peu plus de 7 ans, chez Stephenson Formation.

Est-ce que tu peux me donner un peu le scope de ta mission ?

Ma mission est assez large, c’est une dimension à 360 sur tous les aspects de la communication et du marketing. Pourquoi 360 ? Parce que ça explore tous les champs possibles que ce soit sur le côté digital, le côté print, le côté événementiel et toute la partie un peu plus interne ou institutionnelle.

On peut vraiment jouer sur plusieurs tableaux et adapter le message auprès de chaque cible. Si je dois préciser un petit peu plus le scope de mon activité vis à vis du secteur de l’éducation et de la formation, je dirais qu’en plus d’avoir une vision à la fois stratégique et opérationnelle, il y a un fort challenge face à un marché de plus en plus compétitif et digitalisé.

Pour la partie print, il y a beaucoup de sujets variés à traiter dont les brochures, le catalogue de formation, les flyers… Et le digital permet de sourcer très largement et de façon cibler à la fois des apprentis et des entreprises qui les accueilleront par la suite en alternance. On travaille donc sur le site internet, les réseaux sociaux, etc…

Pour le côté institutionnel, on a besoin de réseauter auprès de différents organes tels que la région, les opérateurs de compétences, Pôle Emploi, les prescripteurs (Missions Locales), etc.

Et pour finir, la partie événementielle est plus centrée sur l’aspect salons, forums étudiant, journée portes ouvertes, où on va sourcer et recruter les nouveaux apprenants.

Est-ce que ton métier a beaucoup changé ces dernières années ?

Effectivement, ces dernières années, on a senti l’évolution et le changement. On a face à nous des nouvelles générations d’apprenants qu’il va falloir aller chercher et même séduire.

Les entreprises, vont peut-être moins passer par l’outil très traditionnel du téléphone.

On a aussi vécu la réforme de la formation, qui a un impact direct sur le marché, du fait de la forte augmentation du nombre d’organismes de formations sur la place francilienne.

Tu pourrais me dire un peu en quoi consiste la réforme dont tu parles ?

Cette réforme a considérablement modifié le champ de la formation professionnelle. Elle nous a impacté, forcément, en créant de la concurrence. Nouveaux challenges donc, vis à vis de la promotion et de la communication.

C’est essentiellement ça. Elle a eu un gros impact sur mon travail au niveau de la notoriété. Réussir à faire émerger l’école au milieu d’un nombre d’acteurs qui a grandi de manière exponentielle depuis la réforme était un réel enjeu.

Comment en es tu venu à travailler avec la fille ?

Tout simplement par le biais de Nicolas avec qui je travaillais. Dans son précédent poste, j’étais sa cliente. On a directement eu une super entente, des supers projets et donc j’ai décidé de faire suivre mes projets dans la nouvelle agence qu’avait intégré Nicolas.

Ça a été une agréable surprise, une belle rencontre avec toute l’équipe de La Fille et c’est pour ça que l’histoire se poursuit.

 

À propos de Nicolas, tu peux me dire une saloperie sur lui ?

Élément marquant sur Nicolas, je l’ai connu sans barbe ! WOOOWW !

 

Et un truc positif sur Nicolas ?

Top, un mec en or !

Tu as développé quel nouveau talent dans ce job et si tu devais faire un autre métier, ce serait quoi ?

J’ai dû vraiment développer une certaine vision et appliquer mes compétences à ce secteur dès l’arrivée à mon poste. Le talent, si on peut dire, que j’ai vraiment développé et apprécié upgrader est le graphisme. J’en suis très contente parce que c’est une des choses que je préfère faire à ce jour.

Si je me voyais avec une baguette magique dans un autre poste, très sincèrement, je crois que je serais toujours plus ou moins dans le même cœur de métier parce que j’aime ce que je fais, j’aime mon métier !

Comme à notre habitude, on a fait un portrait Chinois de Noémie

Si tu étais un animal, tu serais quoi ?

Un singe ! J’ai toujours eu une « passion » pour les singes, ils m’intriguent ! Le premier animal de compagnie que j’ai demandé à ma mère, c’est un singe, avant de comprendre que c’était difficile d’en avoir un à la maison. J’ai eu un chat par la suite, et quand je jouais avec lui, je l’accrochais à l’encadrement des portes pour voir s’il pouvait tenir comme un singe. Mouahahah ! Donc je crois que je suis restée sur le fait que je voulais avoir un singe.

Et si tu étais une plante ?

Si j’étais une plante, je pense que j’hésiterai entre une plante qui a besoin du soleil comme un palmier et quelque chose qu’on trouverait dans le potager.

Et si tu étais un mot ?

« Paillettes » parce que ça brille quand ça en a envie ! 😊

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