Bonjour [prénom]…

découvrez 6 raisons de relancer votre newsletter en 2025 !

Alors que la personnalisation vit ses heures de gloire, vous avez peut-être reçu une newsletter qui avait « oublié » votre prénom… effet contre productif total ! Vous l’avez renvoyée dans les spams et vous vous êtes persuadé, puisqu’on le crie partout sur les réseaux : “Les newsletters, c’est dead.” Spoiler alert : c’est faux !

Et si, comme le vinyle, elle avait simplement retrouvé son vrai public ? Celui des gens qui aiment prendre le temps, savourer, et lire ce qu’ils ont choisi de recevoir. En 2025, la newsletter n’a jamais été aussi vivante, ni aussi utile à votre stratégie de communication. Et nous à l’Atelier, on entend bien vous le démontrer, dans cette mise en abîme qu’est cette newsletter qui parle de… newsletter 🤭

En vrai, la newsletter c’est LE seul canal que vous possédez vraiment

Les réseaux sociaux ? Ça fait déjà un moment que c’est the place to be… enfin jusqu’au jour où l’algorithme décide que votre portée sera divisée par quatre. En 2024, Meta a encore resserré la vis : moins de visibilité organique, plus de pubs payantes.
Résultat : les marques qui avaient mis tous leurs œufs dans le panier d’Instagram ont vu leur engagement s’effondrer. Pendant ce temps-là, celles qui avaient entretenu leur base de lecteurs par e-mail ont vu leurs taux d’ouverture grimper de 20 % (source : HubSpot, 2025).
Votre newsletter, c’est votre maison numérique : vous en êtes propriétaire. Pas de clé confisquée, pas de loyer imposé par un algorithme. Et vous la décorez comme vous voulez. Ou comme vos locataires veulent… c’est quand même plus sûr pour les garder avec vous, non ? 

Le plaisir d’être attendu, et choisi 🥰

Recevoir une bonne newsletter, c’est un peu comme trouver un beau magazine papier dans sa boîte aux lettres. Vous ne le lisez pas forcément tout de suite – vous le posez sur la table, vous attendez le bon moment : un café chaud, cinq minutes à vous, et hop, vous plongez dedans.
Ce moment-là, c’est de l’or.
Parce qu’il repose sur la confiance : votre lecteur a choisi de vous accueillir dans sa boîte (mail ou postale) et il sait que ce qu’il va lire a de la valeur. La newsletter, c’est ce lien de proximité qui humanise la communication des marques, loin du scroll compulsif qui rend tout flou, et donc invisible.

Le meilleur outil pour nourrir une relation

Attirer des visiteurs sur votre site web ou dans vos points de vente, c’est bien. Les faire revenir, c’est mieux.
Une newsletter bien conçue, c’est un fil rouge : vous éduquez, inspirez, racontez, et petit à petit, vous créez une relation qui dépasse la transaction.
Ce n’est plus juste “achetez notre produit/service”, mais “voici comment il s’intègre à votre quotidien”. Et les résultats sont sans appel : les abonnés à une newsletter dépensent en moyenne 67 % de plus que les autres (McKinsey, 2025).
C’est un canal qui transforme vos lecteurs en clients… et vos clients en ambassadeurs. Et tout ça pour la modique somme d’une newsletter bien ficelée, ça serait quand même dommage de s’en priver.

En 2025, Good is the new Big !

On ne veut plus être spammé, on veut être inspiré. Comment ne pas partager, même à titre personnel, ce cri du cœur de nos publics ?
Les lecteurs d’aujourd’hui ne fuient pas les newsletters : ils fuient les contenus vides.
Les marques qui cartonnent l’ont compris : elles ne parlent pas d’elles, elles parlent à leurs lecteurs.
Et les marques françaises qui s’y mettent avec style – de la maison de couture à la start-up tech – misent sur des formats utiles, vivants, incarnés : interviews, stories visuelles, conseils concrets.
Bref, en 2025, on ne vend plus, on partage.
Et même, on mélange les genres : la com’ c’est du CX design (pour Customer eXperience), et ça se pense comme une relation qui s’établit et s’entretient finement. Tout ça grâce à la personnalisation, à l’utilisation de la data et des retours clients, et à une capacité d’adaptation qui oblige à bien travailler son empathie. 

Mais vous allez peut-être nous dire, et l’écoresponsabilité dans tout ça ? Là encore, la newsletter est LE canal qui répondra à vos objectifs : votre publication est maîtrisée en termes de rythme, adressée à des lecteurs qui l’ont choisie (parce que vous utilisez un opt-in bien sûr ?), donc vous respectez la planète, vos lecteurs et votre business. Parce que vous avez compris que moins mais mieux… c’est beaucoup !

Le ROI que tout le monde sous-estime

L’e-mail reste l’un des canaux les plus rentables du numérique. Pas de coût par clic, une base que vous faites grandir à votre rythme, et des taux d’ouverture à 25 % en moyenne.
Comparez avec une pub Facebook à 3 % de reach et vous comprendrez pourquoi les pros du marketing reviennent au slow content.
La newsletter, c’est le café du matin dans votre stratégie de communication : régulier, stimulant, indispensable.

Vos concurrents l’abandonnent ? Tant mieux !

Beaucoup de marques ont laissé tomber leur newsletter parce que “ça prend du temps” ou “plus personne ne lit”.
Erreur stratégique de leur part : moins de newsletters, c’est plus d’espace pour la vôtre.
Selon Litmus (2025), les marques qui maintiennent leur newsletter voient leur taux d’engagement grimper de 35 % quand leurs concurrents arrêtent.
Moralité : pour gagner en visibilité, il faut savoir persévérer. 

Conclusion : votre newsletter, c’est votre assurance vie digitale

C’est votre média, votre lien direct, votre conversation sans intermédiaire.
En 2025, les marques qui tirent leur épingle du jeu ne sont pas celles qui crient le plus fort, mais celles qui parlent le langage de leurs publics (on ne le dira jamais assez !) et entrent en communication avec eux pour leur apporter une vraie valeur. 

Alors, si vous pensiez que la newsletter, c’est “So 2010”, détrompez-vous : elle est redevenue l’espace le plus intime du web.

On espère qu’à la lecture de celle-ci, vous en êtes (au moins un peu) convaincu. Et pour pousser plus loin la preuve par l’exemple, on pourrait même parler de votre projet de newsletter autour d’un café. Aussi, n’oubliez pas de nous dire ce qui vous a le plus surpris parmi ces 6 points (on veut savoir !) par retour d’e-mail parce que la newsletter, c’est pas à sens unique 😉

 

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