Comment communiquer plus Responsable ?

C’est parti pour des vraies bonnes pratiques.

Parce que sauf si on subit une crise carabinée de ROMO depuis plus de 30 ans, la société à sérieusement envie que les communicants et les annonceurs arrêtent de vouloir vendre leurs produits à tout prix. Même quand ça concerne la santé de nos enfants.

Et comme les annonceurs et les communicants vivent en vendant des produits, la remise en question est un impératif. On a vu émerger, des labels, des certifications, des #tags et de nombreuses nouvelles marques pour prendre ce virage. On vous donne ici quelques critères pour vous mettre le pied à l’étrier de la com responsable.

3 Enjeux de la communication responsable

Ne communiquer qu’à bon escient

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Tellement évident et logique que s’il n’y avait qu’un seul enjeu, ça serait celui-là !
Un ultra ciblage, c’est le minimum : viser la France entière pour faire du GA sur une boutique parisienne ça ne booste pas la notoriété, voire ça peut créer de la frustration chez la cible qui ne peut pas se pointer en boutique. Et puis auprès de qui ? Un cœur de cible très large et un message bien plus large  sur toute l’année pour une campagne qui génère un coût carbone élevé avec  un ROI faible. Plus la parole est rare plus elle est précieuse, sachez ménager vos effets sur la planète et sur vos clients.

 

Parler vrai

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Oui, bon on sait, ce point là c’est sans doute le plus sujet à débat. Et en plus il n’a pas attendu la crise mondiale actuelle pour être un enjeu majeur. L’avènement du web 2 poussait déjà les annonceurs a plus de transparence, et les nombreuses crises de santé des dernières années nous ont montrées que le public est de plus en plus critique/sceptique vis-à-vis de  la parole publique. Comme on le sait un engagement ne vaut que s’il est accompagné d’actes et des preuves qui le démontrent.  “On n’est pas parfaits mais on fait des efforts”, c’est le nouveau crédo.

 

Adopter la sobriété comme brief créa

 

Concevoir ses actions de communication dans une hygiène de sobriété. C’est le mot de l’année que voulez-vous. Mais c’est-à-dire ? 

  • Si j’imprime, dans quelle quantité maximum et sur quel type de support, recyclé et recyclable ? 
  • Si je tourne, fais-je voyager mes comédiens, dois-je tourner avec des locaux et consommer uniquement local ? C’est une base, quoi qu’il arrive, je minimise l’impact de mon tournage quitte à ne pas tourner du tout au profit d’images d’archives ou de stock footages ! Je peux remplacer des scènes qui détruisent par du motion et des FX ? 
  • Si j’affiche, pourquoi pas en mode reverse graffiti
  • Si je développe (un site),  avec des images légères,du code synthétique, hébergé sur des serveurs clean avec électricité verte, en respectant la vie privée de mes visiteurs et l’accessibilité pour les différents types de handicap. 
  • Si c’est du display, je privilégie le html au gif animé pour mes campagnes, plus souple créativement et plus léger pour les serveurs. 

J’ai conscience que j’en oublie et c’est là que je compte sur vous pour m’aider à compléter cet article avec vos solutions réduction de l’impact environnemental. On n’a pas fini d’en parler et on n’en aura sans doute jamais fait le tour. Sauf à vivre dans Mad Max et à ne plus avoir besoin de communication et de marketing mais ça, c’est un autre storytelling.

 

Venez me parler pour compléter cette article !

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